Station eleven d'Emily St John Mandel
Une pandémie foudroyante a décimé la civilisation. Une troupe d’acteurs et de musiciens nomadise entre de petites communautés de survivants pour leur jouer du Shakespeare. Ce répertoire classique en est venu à représenter l’espoir et l’humanité au milieu des étendues dépeuplées de l’Amérique du Nord.
Centré sur la pandémie mais s’étendant sur plusieurs décennies avant et après, Station Eleven entrelace les destinées de plusieurs personnages dont les existences ont été liées à celle d’un acteur connu, décédé sur scène la veille du cataclysme en jouant Le Roi Lear. Un mystérieux illustré, Station Eleven, étrangement prémonitoire, apparaît comme un fil conducteur entre eux.
Abandonné à la page 100 je n’ai pas réussi à entrer dans ce livre classé science- fiction ni à suivre le fil de l’histoire. J’avais pourtant bien accroché au début. En relisant la quatrième de couverture ci-dessus je comprends mieux mon abandon car même ce résumé je n’y comprends rien !