Ma de Hubert Haddad

« La marche à pied mène au paradis. » Ainsi s’ouvre Mā, roman japonais, à la croisée de deux destins et autour d’une même quête, la voie du détachement. 
Shōichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu’il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santōka, le dernier grand haïkiste. Leur aventure aussi incandescente que brève initie le départ de Shōichi sur les pas de Santōka, de l’immense Bashō et de son maître Saigyō. Marcher, pour cette procession héroïque d’ascètes aventureux, c’est échapper au ressassement, aux amours perdues, c’est vivre pleinement l’instant ! « Le saké pour le corps, le haïku pour le cœur. »
Dans la lignée de l’inoubliable Peintre d’éventail, Hubert Haddad nous emmène sur les sentiers du Bout-du-Monde. Son écriture est comme la palpitation miraculeuse de la vie, au milieu des montagnes et des forêts, à travers le chant des saisons, comme un chemin sur le chemin.

Je suis persuadée que ce livre est magnifique que l’auteur a du talent mais je suis aussi persuadée que ce livre n’est pas fait pour moi. D’abord je suis ignorante de la culture japonaise (pourtant j’ai adoré « En même temps toute la terre et tout le ciel » de Ruth Ozeki ) et je n’ai jamais réussi à rentrer dans ce livre j’ai abandonné à la page 116 …….lassée déboussolée ennuyée. Perdue entre les personnages j’ai relu 10 fois la page de couverture mais rien n’y a fait. L’impression d’être dans un labyrinthe d’enfoncer des portes ouvertes de ne pas trouver le fil conducteur.

Comments

[la vie en rose]

je n'ai pas du tout accroché :( ce fut une lecture difficile